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Anxieux / Évitant – Deux cœurs blessés qui aspirent à s’aimer

Dernière mise à jour : il y a 5 jours


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Préalable essentiel


Loin de moi l’idée d’enfermer qui que ce soit dans une case - bien au contraire.

Mon intention est simplement de partager quelques clés de compréhension sur ces deux profils profondément blessés : leur histoire, leurs mécanismes, leurs manières de se protéger et d’aimer. Ces repères peuvent aider à mieux se comprendre, ou à mieux comprendre l’autre.


Mais tu le sais, l’être humain ne se résume jamais à un profil. Il est infiniment plus complexe, plus nuancé, et surtout bien plus beau que tout cadre théorique. C’est pourquoi il est essentiel de ne pas s’identifier à ces descriptions : elles sont des miroirs de conscience, pas des étiquettes. Et la bonne nouvelle, c’est qu’il est tout à fait possible de s’en libérer.


Peut-être te reconnaîtras-tu dans certaines lignes… ou peut-être t’aideront-elles à poser un autre regard sur une personne que tu aimes, dont les réactions te semblent parfois démesurées, incompréhensibles ou contradictoires.


Je crois d’ailleurs que nous portons tous, à des degrés différents, ces deux polarités en nous - l’anxieux et l’évitant - avec une dominante plus marquée selon notre histoire.


Si j’écris cet article aujourd’hui - long car complexe -, c’est parce qu’il a eu besoin de mûrir en moi… et aussi parce que je sens avoir suffisamment apprivoisé mon propre fonctionnement anxieux pour pouvoir le regarder avec recul, douceur et lucidité.

 


Entrons maintenant dans le cœur du sujet : ces deux manières si différentes – et pourtant si proches – d’aimer et de se protéger.

 

 


Le profil anxieux : un cœur en attente d’assurance

 

Mais qu’est-ce qu’un profil anxieux au juste ?


Le profil anxieux n’est pas simplement « quelqu’un qui stresse dans les relations ».


C’est une personne profondément attachée, souvent très sensible, qui aime intensément… mais qui vit l’amour comme un terrain instable, où rien n’est jamais acquis. Elle peut se montrer fusionnelle, exigeante et en demande, mais derrière ces comportements se cache une énorme blessure orale, plus communément appelée « blessure d’abandon », et une peur viscérale d’être laissée de côté et de perde le lien avec l’autre.


L’anxieux cherche la sécurité à travers l’autre, souvent de manière urgente et intense. Il ou elle peut s’accrocher, questionner, vérifier, tester - non pas pour manipuler, mais uniquement pour se rassurer.


Il n’est pas « trop » fragile, sensible, intense...  Il ressent profondément, et vit chaque distance comme une alarme intérieure.

 


D’où vient ce fonctionnement ?


L’anxiété d’attachement s’enracine souvent très tôt dans l’enfance, à travers des expériences relationnelles marquées par l’instabilité, l’imprévisibilité ou la conditionnalité de l’amour. L’enfant grandit dans l’incertitude quant à la disponibilité émotionnelle de ses figures d’attachement et apprend, souvent inconsciemment, qu’il doit faire quelque chose pour conserver le lien.


  • Une instabilité émotionnelle des figures parentales : souvent, un des deux parents est absent (physiquement, émotionnellement). L'autre parent peut être parfois très présent, puis soudain absent, distant ou très préoccupé. L’enfant fait alors l’expérience d’un lien affectif fluctuant : tantôt chaleureux et fusionnel, tantôt froid ou indifférent. Cette alternance crée une insécurité de fond - l’amour semble possible, mais jamais garanti.


  • Une incohérence dans les réponses affectives : pour une même émotion, l’enfant peut tantôt être consolé, tantôt grondé. Ce manque de prévisibilité l’amène à douter de la constance de l’amour et à développer une hypervigilance relationnelle : il scrute les signes, s’ajuste, cherche à plaire ou à deviner les attentes pour éviter de perdre le lien.


  • Une absence de repères sécurisants : lorsque l’amour est vécu comme conditionnel - dépendant du comportement, de la réussite, ou du « bon » rôle tenu - l’enfant intègre l’idée qu’il doit mériter l’attention et la tendresse. Il devient alors sensible à la moindre variation de l’autre et anxieux à l’idée de déplaire.


  • Un climat émotionnel imprévisible ou chargé : dans certaines familles, l’expression des émotions est excessive, dramatique, instable ou encore n'a pas sa place. L’enfant apprend à gérer, à calmer, à rassurer - devenant ainsi souvent le « petit adulte » qui veille à l’équilibre du foyer. Ce rôle le pousse à développer très tôt un sens aigu de la responsabilité affective et la protection d'autrui, au détriment de sa propre sécurité émotionnelle.


  • Des pertes ou ruptures précoces de lien : décès, maladie, séparations, absences prolongées ou « disparitions » soudaines d’une figure d’attachement peuvent renforcer cette peur de l’abandon. Ces expériences inscrivent dans l’inconscient l’idée que l’amour peut s’interrompre brutalement, ce qui alimente, à l’âge adulte, une peur intense de perdre le lien et un besoin constant d’assurance.


  • Une dynamique de rôle inversé : ces enfants - souvent aînés de la fratrie - apprennent très tôt à être forts, responsables et sages. Ils endossent des fonctions de soutien émotionnel envers les parents ou les frères et sœurs, se construisant sur une illusion de maturité précoce. En réalité, cette « force » masque un grand besoin de douceur, de protection, de réassurance et de reconnaissance, souvent refoulé ou nié.

 

 

Et à l’âge adulte, comment cela se manifeste ?


Le profil anxieux peut se montrer :


  • Très attentif aux signaux de l’autre et hypervigilant à la moindre distance ou silence.

  • Dépendant à certains moments - en demande de preuves d’amour, de présence, de validation et de confirmation, et prêt à s’oublier pour garder le lien.

  • Hyper-indépendant à d’autres (c’est aussi de la dépendance affective) : distant, et surtout ne rien demander/montrer à personne, ne compter que sur lui-même.

  • Sujet à des montées d’angoisse relationnelle : « Est-ce qu’il/elle m’aime encore ? », « Ai-je dit quelque chose de mal ? ».

  • Parfois perçu comme « étouffant », « trop », « dramatique », « sensible », « susceptible » par les autres, ce qui renforce encore le sentiment de ne pas être aimé ni considéré pour qui il est.

  • Pris dans des pensées obsédantes sur l’amour, la perte et l’insécurité.

 

Et pourtant… Derrière ces réactions, il y a une personne qui aime profondément, qui aspire à un lien stable, sincère et réciproque, mais qui a appris que l’amour était fragile, risqué et instable.

 


Dans les relations, cela peut créer…


  • Des montagnes russes émotionnelles : exaltation quand tout va bien, panique exacerbée au moindre éloignement.

  • Une confusion constante entre intuition et insécurité.

  • Des conflits fréquents : reproches, malentendus, impulsivité et besoins exprimés dans l’urgence.

  • Une tendance à choisir des partenaires indisponibles, puis à s’acharner à faire exister le lien.

  • Et souvent… une fatigue émotionnelle immense, car le système nerveux reste en état d’alerte constant en raison du besoin de contrôle permanent.

 


Mais ce profil peut évoluer


Non, un attachement anxieux n’est pas une condamnation. C’est une manière d’aimer qui s’est construite dans un contexte où l’amour n’était pas sûr. Mais aujourd’hui, il est possible de réapprendre à aimer sans se perdre.

 

Voici quelques pistes pour cela :


  1. Identifier tes schémas relationnels

Repérer les déclencheurs : moments où tu te sens en panique, où tu cherches à te rassurer et où tu as peur de perdre le lien, d’être « abandonné ».


  1. Apprendre à réguler ton système émotionnel

Pratiques corporelles (respiration, ancrage, auto-compassion) pour retrouver de la sécurité en toi, sans attendre qu’elle vienne toujours de l’extérieur.


  1. Redonner une place à tes propres besoins

L’anxieux tend à s’oublier pour être aimé. Revenir à toi, à ce qui te nourrit, à ce qui te fait du bien, est un vrai acte de guérison.


  1. Distinguer peur et réalité

Ce n’est pas parce que tu ressens un « abandon » qu’il est en train de se produire. Apprendre à faire la différence entre un vécu intérieur et ce qui se passe réellement dans la relation est donc essentiel.


  1. Sortir de la dépendance affective

Cela ne veut pas dire devenir froid ou détaché, mais développer une base intérieure solide pour aimer sans t’effondrer, et ainsi devenir véritablement autonome.


  1. Se faire accompagner

Des thérapies centrées sur l’attachement, les approches psycho-corporelles, somatiques ou l’EMDR peuvent t’aider à reprogrammer ta manière de vivre l’amour et la sécurité.


 

Le profil anxieux en résumé


Le profil anxieux n’est pas un défaut de caractère ni une fatalité. C’est une mémoire émotionnelle, une alarme qui s’est activée très tôt pour signaler un danger : celui d’être oublié, négligé, abandonné.


Mais aujourd’hui, tu peux apprendre à te rassurer autrement. À ne plus chercher dans l’autre ce que tu peux aussi cultiver en toi : la sécurité, la valeur, la confiance et la stabilité.


Tu n’as pas non plus à « faire et donner » pour être aimé, mais juste apprendre à être toi, tantôt fort, tantôt vulnérable. Tu as également droit à la douceur que tu n’as pas souvent reçue.


Tu n’as pas à devenir indifférent pour être fort. Tu peux rester sensible et aimer intensément… tout en apprenant à rester ancré, digne et serein dans l’amour.


Parce qu’au fond, ce que tu cherches, ce n’est pas juste d’être aimé. C’est d’être vu, compris, accueilli dans toute la richesse de ce que tu es. Et ça, c’est possible.

 

 



Les évitants/fuyants : ces cœurs qui prennent la fuite devant l’Amour 

 


Mais qu’est-ce qu’un profil évitant ?


Le profil évitant (dit aussi « fuyant ») est également un mécanisme de protection émotionnelle. Derrière une apparente indépendance, un calme maîtrisé ou une certaine légèreté, se cache une grande difficulté à entrer en lien profond, à faire confiance – à soi comme aux autres – et à s’autoriser à ressentir pleinement, en particulier les émotions dites vulnérables : tristesse, peur, besoin d’aide, ou attachement affectif.


L’évitant souffre lui plutôt de la blessure schizoïde, ou plus communément appelée « blessure du rejet ».


Il ne fuit pas les autres par indifférence ou égoïsme, mais pour éviter la sensation d’être envahi, dépendant ou mis à nu émotionnellement.

 


Quelles sont les origines possibles de ce fonctionnement ?


Ce mode de protection s’ancre souvent très tôt dans l’enfance, à travers des expériences relationnelles où le lien affectif a été source de tension, d’intrusion ou d’insécurité. L’enfant apprend alors que se montrer vulnérable, dépendant ou en besoin d’autrui expose à un risque - celui d’être ignoré, jugé ou contrôlé.

 

  • Un attachement insécurisant : les figures parentales peuvent être peu disponibles émotionnellement, distantes, préoccupées, critiques ou incohérentes dans leurs réactions. L’enfant intègre que ses besoins affectifs ne sont pas accueillis avec constance et développe une stratégie d’auto-suffisance apparente pour se protéger de la déception ou du rejet.

 

  • Une valorisation (ou imposition) précoce de l’autonomie : tout comme l’enfant à tendance anxieuse, certains ont appris très tôt qu’ils devaient « se débrouiller seuls », « ne pas déranger », « être forts ». Mais cette autonomie n’est pas le fruit d’un développement naturel, elle est plutôt une adaptation à un environnement où la dépendance émotionnelle n’était pas sécurisée. Paradoxalement, cette sur-adaptation peut coexister avec une profonde insécurité interne, un sentiment d’incompétence ou d’impuissance, car l’autonomie a été imposée plutôt qu’accompagnée.

 

  • Des peurs intériorisées : peur d’être rejeté en exprimant un besoin, peur d’être dominé ou « envahi » dans la relation et peur de perdre le contrôle si l’on s’attache. Ces peurs conduisent à ériger la distance émotionnelle comme une forme de maîtrise, voire de dignité.

 

  • Un environnement émotionnellement froid, imprévisible ou envahissant : lorsque les figures de lien oscillent entre absence, indifférence ou intrusion, la distance devient une stratégie de survie. L’enfant apprend à « faire seul », à se couper de ses besoins ou de ses élans affectifs pour préserver un sentiment de sécurité psychique.

 

  • Une dynamique de contrôle ou d’infantilisation : l’enfant - souvent le cadet de la fratrie - a parfois été perçu et traité comme « le petit dernier », celui qu’il faut protéger, guider, voire surprotéger. Il a donc pu être inconsciemment maintenu dans une position d’infantilisation, considéré comme « incapable », « fragile » ou « pas encore prêt ». Dans certains cas, un parent très contrôlant, intrusif ou anxieux a pu exercer une emprise forte, limitant son autonomie et son expression personnelle. Cette dynamique crée alors une ambivalence : un sentiment d’étouffement face au contrôle, mais aussi une difficulté à se sentir pleinement capable ou légitime de se débrouiller seul.

 

 


Et à l’âge adulte, quelles conséquences ?


Le profil évitant peut très bien fonctionner socialement ou professionnellement, avec aisance apparente. Mais à l’intérieur, il y a souvent une forme de déconnexion de soi-même et des autres.

 

Comportements fréquents :

  • Difficulté à exprimer ou identifier ses émotions.

  • Besoin de contrôle, peur de perdre sa liberté.

  • Tendance à fuir les conflits ou les échanges profonds.

  • Évitement de l’intimité, retrait émotionnel.

  • Sensation de vide intérieur, comme s’il manquait quelque chose.

  • Difficulté à demander de l’aide ou à montrer ses failles.

 

Les conséquences dans les relations

  • Relations souvent superficielles ou instables.

  • Ruptures fréquentes dès qu’un lien devient trop profond.

  • Partenaire qui se sent tenu à distance, « jamais vraiment proche ».

  • Sentiment de solitude même en étant entouré.

 


Et pourtant… Ce comportement n’est pas un manque de sentiments


Les évitants/fuyants émotionnels ressentent souvent très fort. Mais leur rapport à la proximité affective est parasité par des peurs profondes : peur d’être envahi, blessé, rejeté, ou de perdre leur liberté.

Souvent, au début d’une relation, ils se montrent chaleureux, charmants et intensément présents… jusqu’à ce que le lien demande plus de constance, de sincérité ou d’engagement. C’est alors que le masque tombe : ils deviennent insaisissables, s’éloignent sans vraiment partir et se taisent sans vraiment disparaître.

Pour l’autre, ce comportement est déroutant et douloureux. Il donne, puis retire ; s’ouvre, puis se ferme ; approche, puis fuit. Une danse émotionnelle souvent épuisante, et incomprise.

 


Mais alors, comment sortir de ces schémas ?


Ce n’est ni simple ni rapide, mais c’est possible. Il ne s’agit pas de forcer une intimité brutale, mais de réapprendre à rester en lien sans fuir, sans se perdre et à être vulnérable sans danger.


Voici quelques pistes pour amorcer le changement :


  1. Identifier tes schémas d’évitement

Repérer quand tu te fermes ou te retires, physiquement ou émotionnellement.


  1. Explorer tes besoins réels

Sous l’indépendance se cachent souvent des besoins de sécurité, de tendresse et de lien.


  1. Te reconnecter à ton monde émotionnel

Le corps est une porte d’entrée : ancrage, respiration, écoute des sensations sans jugement.


  1. Expérimenter la proximité en sécurité

Dans un cadre bienveillant (thérapeute, ami(e), partenaire), t’autoriser peu à peu à dire ce que tu ressens et à rester présent malgré l’inconfort.


  1. Déconstruire tes croyances de protection

Comme : « je dois me débrouiller seul », « l’amour rend faible », « si je m’attache, je perds ma liberté ». Ces croyances ont protégé l’enfant, mais étouffent l’adulte.


  1. Se faire accompagner

Les thérapies centrées sur l’attachement, l’EMDR, ou les approches psycho-corporelles et somatiques peuvent transformer ces schémas profondément ancrés.

 

 

 

Le profil évitant/fuyant en résumé


Le profil évitant n’est ni une fatalité ni un défaut. C’est un mécanisme de survie affective, forgé dans un passé où la vulnérabilité n’était pas une option.


Mais aujourd’hui, il est possible de désactiver cette alarme intérieure, de reconstruire la confiance et de créer des liens profonds, nourrissants, sécurisants.


Il ne s’agit pas de devenir dépendant, mais de redevenir pleinement humain, capable de sentir, de s’ouvrir, d’aimer… sans se trahir, ni se fuir.

 

 

 


Pourquoi ces deux-là s’attirent ?


Ce sont deux cœurs extrêmement sensibles qui ne demandent qu’à aimer et être aimés, tout en gardant leur individualité et leur liberté d’être et d’agir.


Le profil anxieux se structure autour d’une peur fondamentale de la perte du lien. Le profil évitant, lui, se construit autour d’une peur tout aussi profonde : celle d’être rejeté ou jugé pour ce qu’il est vraiment.

Là où l’évitant se protège en se coupant de son besoin de lien, l’anxieux tente de le préserver en s’y agrippant.


L’anxieux et l’évitant se reconnaissent inconsciemment. Leurs blessures se répondent comme deux pièces d’un même puzzle : l’un cherche la fusion pour se sentir en sécurité, l’autre cherche la distance pour ne pas se sentir envahi. Chacun éveille chez l’autre à la fois son besoin le plus intime et sa peur la plus profonde.


L’anxieux est attiré par la force tranquille et l’autonomie apparente de l’évitant, qui semble incarner la stabilité qu’il recherche. L’évitant, quant à lui, est touché par la chaleur, la présence et la capacité d’attachement de l’anxieux - ces élans affectifs qu’il a souvent dû refouler pour se protéger.


Mais cette rencontre, bien que magnétique, est d’abord une danse paradoxale : plus l’un s’approche, plus l’autre se retire, et plus l’autre fuit, plus le premier s’accroche. C’est une alchimie à la fois fascinante et douloureuse - une tentative inconsciente de réparer, à travers l’autre, ce qui n’a pas pu être sécurisé dans l’enfance.

 



Quand la relation devient un chemin de guérison


Lorsque l’anxieux et l’évitant prennent conscience de leurs schémas respectifs, la relation peut cesser d’être un terrain de souffrance pour devenir un véritable espace d’évolution.


Chacun, à travers l’autre, rencontre les parts de soi qu’il avait dû mettre à distance pour survivre : l’anxieux apprend peu à peu à se recentrer, à s’apaiser et à trouver la sécurité en lui-même plutôt que dans l’autre ; l’évitant, de son côté, découvre qu’il peut rester libre tout en étant en lien, et que la proximité n’est pas synonyme d’étouffement.


Ce chemin n’est pas linéaire : il demande du temps, de la conscience et une volonté partagée d’honnêteté émotionnelle. Mais lorsque la peur laisse place à la compréhension, et la réaction à la responsabilité, la relation se transforme. Elle devient alors un lieu d’apprentissage, de réparation, et souvent même alors de douceur et tendresse retrouvées - un espace où chacun peut enfin aimer depuis un endroit plus apaisé que blessé.




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  • Blessures de l'ego : ici

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Avec coeur,


Géraldine Redouté


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